« Dis lui qu’il faut qu’elle vive. »
Poupette

Lisa m’avait déjà contacté une première fois pour une connexion avec sa jument décédée. Elle avait été très surprise et impressionnée par l’exactitude des informations que je lui avais transmise. C’est donc tout naturellement qu’elle revint vers moi lorsqu’elle perdit sa moitié canine. Lisa n’arrivait pas à faire le deuil de sa petite Poupette, elle culpabilisait de ne pas avoir pu lui dire au revoir. Cette connexion compta énormément aux yeux de Lisa, elle espérait vraiment recevoir un message de sa chienne adorée.
« Alors ce sera pour Poupette , la raison de ma demande de ÇA est parce qu’elle est partie accidentellement ; en mon absence j’aimerais savoir ce qu’il s’est passé , je n’arrive pas à comprendre ce qu’il s’est passé ce jour là. Ça fera 4 mois le 23 qu’elle est partie et j’ai conscience que je la retiens un peu ici à cause de mes questions et de mon incapacité à faire mon deuil. Rien que d’écrire ce texte me met en larme .mes questions serait : – qu’est ce qu’il s’est passé ? – est elle morte sur le coup ; ou est ce que ça a traîné ? – est ce qu’elle me pardonne mon absence à ce moment là ? – et je voudrais lui dire qu’elle a été la meilleure amie que je n’ai jamais eu et que ne l’oublierai jamais .. Merci «
DESCRIPTION :
Poupette m’est apparue pleine de vie, en courant comme une folle. Il m’a aboyé dessus aussi, mais avec joie et m’a invité à la suivre. Elle m’a montré quelque chose d’étrange, une veille maison style « ferme », et de la terre au tour (au sol), il y a aussi un gros engin (un peu style engin agricole c’est très étrange). Je lui demande pourquoi elle me montre ça. Poupette : C’est ce que tu veux voir non ? Ma vie. Je lui dit que oui en partie. Je ressent une âme très vive, pleine d’énergie, curieuse, aimant l’aventure et les nouveautés. Il y a dans son cœur une forme de courage et une belle bonté. J’ai la sensation qu’elle a eu des soucis physique mais un peu psychologie au niveau de la maternité ou quelque chose en lien. Alors qu’elle ne s’est jamais sentie vraiment un mère. Elle est plutôt indépendante. Son esprit est très légé et beau. Elle s’amuse beaucoup.
COMMUNICATION :
Alizée – Bonjour Poupette.
Poupette – « Bonjour. Tu en as mis du temps. »
Alizée – Pourquoi ?
Poupette – » Je t’attendais. Du moins on attendais, car beaucoup de choses dépendent de cet échange. »
Alizée – Sympa, sa ne met pas du tout la pression…
Poupette – « Oh non, détends toi rien de grave. Mais pour mes gardiens, enfin surtout ma gardienne, elle met beaucoup d’espoirs la dedans donc... »
Alizée – Oui je vois. Poupette – » J’ai des choses à te dire. C’est surtout pour répondre aux questions que ma gardienne se pose en réalité. Je suis restée un long moment auprès d’elle. Il lui arrive encore de regarder des photos de moi, mais bon elle s’arrête car elle se fait du mal. »
Alizée – Ta gardienne aimerait savoir comment s’est passé ton départ ?
Poupette – « Ah oui…. Il y a mieux comme départ. Ma gardienne s’en veut car elle n’a pas pu empêcher ce qui m’est arrivé. Mais sa s’est passé vite. J’ai ressenti comme un choc. Et puis quelques temps après j’ai quitté mon corps. Mais mes gardiens n’ont pas vraiment eu le temps de me dire au revoir. Au début je me suis sentie un peu perdue et seule, personne n’est venu tout de suite à mon secours. Et puis quand ils s’en sont rendu compte, j’étais déjà sur le chemin pour l’autre côté. »
Alizée – Tu ne veux pas plus entrer dans les détails ?
Poupette – « Pourquoi faire ? Non. Voilà comment mon départ s’est passé. Mon âme a quitté mon corps assez rapidement. Et puis je suis passé de l’autre côté. »
Alizée – Tu n’es donc pas resté bloqué ici ?
Poupette – » Non. J’ai très bien rejoins la lumière. »
Alizée – D’accord. Car ta gardienne s’inquiétait de sa justement.
Poupette – « Je sais. Elle s’inquiète de beaucoup de chose, elle est comme ça. Elle n’arrive plutôt pas à accepter son chagrin et le faite qu’elle ne pouvait pas tout le temps me protéger. Comme quand je partais à la « chasse », où mon instinct était bien trop fort, et je courais encore et encore et pouf parfois je revenais avec des « blessures de guerre ». Mais que veux-tu, je suis ainsi. »
Alizée – Tu avais fini ta mission ici sur terre ?
Poupette -« Oui et non. J’ai aidé ma gardienne a grandir et à devenir celle qu’elle est aujourd’hui. J’aurai beaucoup aimé resté encore un peu. »
Alizée – Aurais tu quelque chose à dire à ta gardienne ?
Poupette – « Il faut qu’elle regarde ce qu’elle a, et non pas ce qu’elle n’a plus. Nous sommes encore tous là. Ok sur une autre forme, mais qu’elle reste fidèle à qui elle est, qu’elle ressente que nous sommes là et ces pleurs s’apaiseront. Je sais que j’étais son trésor, comme une « âme sœur », on s’est bien amusées ensemble.Il est inutile de dénouer ce qu’il s’est passé. Je suis partie, mais toujours là. Elle doit à présent apprendre à vivre sans ma présence physique, et élever son âme sur un autre plan pour me retrouver. Elle essai de cacher son chagrin, sa peine et sa douleur. Il faut à présent qu’elle transforme ces émotions en sentiment d’amour et de paix infinis. Car c’est là où je suis et j’y suis bien. Je veux simplement la revoir sourire à la vie sans une pointe de regret. »
Alizée – D’accord. Je te remercie et lui transmettrais ton message.
Poupette – « Dis lui qu’il faut qu’elle vive ! «
