
« Nos animaux familiers sont des anges déguisés venus sur terre pour nous apprendre la douceur. » Simonetta Greggio
Nous connaissons tous, pour la plupart, la douleur immense que l’on éprouve lorsqu’un de nos amis animal part vers l’autre côté. Ce vide intense, et ce silence dans notre cœur qui nous envahie tout à coup. Nous avons beau essayer de nous y préparer, car, nous savons qu’ils partiront avant nous; Rien ne comble cet étrange calme autour de nous, et où la tempête faire rage dans notre esprit. Travailler sur notre deuil aide considérablement les animaux à passer plus paisiblement de l’autre côté. Nous les avons aimer durant toute une vie, il est de notre devoir et aussi par amour, de continuer à les accompagner même lorsqu’ils ne sont plus physiquement à nos côtés. Parfois, une petite pensée suffit à apaiser notre cœur. Pleurer n’est pas une erreur, être triste non plus, mais il est important de savoir trouver le bonheur quant à toutes les merveilleuses années passées avec notre animal. Penser aux bons moments aident considérablement notre cœur et notre esprit à s’apaiser, et par conséquent, aide également notre animal qui lui est de l’autre côté.
Mais saviez-vous que nos animaux peuvent eux aussi nous aider dans notre travail de deuil ?
Après la perte d’un animal, n’avez-vous jamais entendu un bruit qui provenait avant de lui ? Par exemple un aboiement ? Sentir tout à coup son odeur, alors qu’il n’est plus avec vous ? Ressentir sa présence, ou bien encore vous avez cru apercevoir votre chien ou votre chat au fond de votre jardin ? Je pense que nous sommes très nombreux à avoir déjà connu ces situations, et où on s’est dit que ce n’était que notre imagination. Et bien sachez que NON ! Il ne s’agit absolument pas de votre imagination, mais bel et bien un signe de votre animal !
Comment cela fonctionne ?
Lorsque les animaux décèdent, ils ne passent (pour la plupart) par immédiatement de l’autre côté, ils sont en quelque sorte en transition entre deux « mondes ». C’est là que l’énergie de l’animal est la plus forte, et où nous pouvons facilement la ressentir. Les animaux en profitent alors pour rester auprès de leur famille afin de les rassurer et les accompagner dans leur deuil. Il arrive parfois, que des animaux décédés, accompagnent aussi les autres animaux de foyer. Je me souviens d’une communication animale que j’ai faites il y a quelques années avec un chat qui venait de mourir, et dont son frère (chat) avait disparu au même moment. Leur gardienne était déjà bouleversée par la perte du premier chat, mais en plus son autre chat avait disparu. Ce fut très difficile émotionnellement pour elle. Lorsque j’ai contacté le chat décédé, il m’expliqua qu’il était en ce moment même avec son frère afin de l’accompagner dans le processus de deuil et que son frère allait revenir d’ici quelques jours. Une semaine plus tard, l’autre chat était de retour chez sa gardienne et elle m’expliqua qu’en effet, son chat n’avait pas l’air triste ni désorienter d’avoir perdu son frère avec qui, il était pourtant proche.
Si nous prêtons attention, nous pouvons voir et ressentir tous ces signes qu’ils nous envoient. Il peut parfois s’agir d’une petite brise, d’une musique, d’une image…
Et après ?
Une fois que les animaux ont terminé leur transition, ils partent vers ce que l’on appel « l’autre côté ». Leur flux énergétique change et évolue. Ils peuvent bien entendu continuer de revenir à nos côtés et à nous envoyer des signes, mais ceux-ci seront beaucoup moins perceptibles, sauf pour les personnes ayant leur intuition développé.
Pour conclure, lorsqu’un de nos amis part, célébrons ce départ avec humilité et amour. Soyons fière d’avoir vécu à leur côté, pensons aux bons moments. Et bien entendu, restons attentifs aux signes qu’ils nous envoient.

Une feuille de lierre en forme de cœur

Or, je n’ai pas de lierre à cet endroit là

Après quelques secondes mon cœur fut prit d’une forte émotion étrange. Et je compris alors, que c’était simplement mon petit Gustave disparu récemment qui m’envoyait ce petit message d’amour.

Et effectivement, là où son corps repose, près d’un petit murs, il y a du lierre qui pousse
